Ils sont Canadiens, ils
sont jeunes, ils sont beaux, ils s’appellent The Rabid Whole et livre avec
Refuge leur deuxième effort, après un Autromaton déjà oublié, auquel ils ont
offert une version remixée. Voilà. Ils déclarent mixer Rock alternatif, Metal,
indus et électo. Si ça peut leur faire plaisir, quand bien même on a du mal à
repérer les deux dernières étiquettes, à moins que l’on ne considère le
Paradise Lost période One Second/Host comme de la musique électro, référence à
laquelle on est parfois bien obligé de penser à l'endroit de cette formation,
le talent, le charisme et la verve de Nick Holmes en moins, Andreas Weiss
peinant, à cause d’un chant par trop lisse et passe partout, à soutenir une
comparaison forcément peu à son avantage. Au risque – encore une fois - de se
répéter, Refuge fait partie de ces disques, certes bien faits, agréables mais
incapables de marquer les esprits bien longtemps et The Rabid Whole, un de ces
(trop nombreux) groupes qu’on n’imagine pas autrement qu’en chauffeur de salle
avant la tête d’affiche. Mais, car il y un mais,
les Canadiens comptent dans leur rang un atout de charme (Read more)
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