C'est à la fin des
années 60 que Klaus Schulze débute sa carrière. Jeunesse oblige, l'homme se
cherche alors encore, multipliant les expériences et les instruments, la
guitare tout d'abord puis la batterie, qu'il pratique pour l'oublié Psy Free et
surtout chez Tangerine Dream avec lequel il enregistre l'aride Electronic
Meditation dont le titre sonne tel une profession de foi puis pour Ash Ra
Tempel, deux groupes qu'il quitte très vite car il prend conscience que son
imagination démentielle ne peut être bridée, corsetée par une formation aussi
proche soit-elle de ses visions sonores. Par l'immense solitude qui les
imprègne, ces premières oeuvres en solo sont la conséquence directe de ces
collaborations avortées, quand bien même il multipliera par la suite les
travaux avec son ami Manuel Göttsching, que
ce soit avec Ash Ra Tempel ou avec les Cosmic Jokers. Cette époque est en outre
marquée par la production des premiers synthétiseurs auquel l'Allemand commence
sérieusement à s'intéresser. Etonnemment, Irrlicht, le galop d'essai qu'il
capture à Berlin en avril 1972, n'accueil aucun synthétiseur. Ce qui ne
s'entend pas tant que cela. (Read more)
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