Hordes

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lundi 16 mars 2015

Morne - The Coming Of Winter



mardi 17 février 2015

El Tubo Elastico - S/T


mardi 27 janvier 2015

Captains Of Sea And War - S/T


mercredi 24 décembre 2014

Ginevra - Æthereal


mercredi 17 septembre 2014

Her Name Is Calla - Live At St Pancras Old Church #2


dimanche 24 août 2014

Audiolepsia - Principio de Incertidumbre


dimanche 15 juin 2014

vendredi 6 avril 2012

Nooumena - Argument With Eagerness (2011)


Il y a déjà ce nom dont l’harmonie est perturbée par l’enchaînement de ces deux "o" eux même accolés à un "u". Puis, c’est ce visuel d’une laideur hallucinée, autant d’indices qui nous font espérer ou redouter, c’est selon, un programme où on le pressent, le maître mot sera : barré.

Auteur d’une démo en 2007 (In Memory Of A Next World), Nooumena est originaire de Normandie, véritable vivier musical où bien souvent le talent se conjugue à une grande liberté artistique. S’il ne fait aucun doute que la seconde qualité est à mettre à l’actif de l’auteur de Argument With Eagerness (nous y reviendrons), la première, en revanche, si on la devine déjà, est encore en gestation. Car il n’est pas donné aux premiers venus de maîtriser ce genre de canevas où les couches et influences se superposent, copulent pour aboutir à un tout cohérent et surtout digeste.

De fait, à l’écoute de ces longs derelicts, on a parfois l’impression que les gars ont jeté au fond d’un mixer tout ce qui leur passaient par la main, un peu de métal progressif, du post Rock, du Opeth ("Bygone Ages" pour ses ambiances), du jazz ("Decadence") et pas mal du King Crimson contemporain pour cette manière de déconstruire le vivant… On appele ça de l’art rock, soit un truc un peu bizarroïde transpercé par de vraies fulgurances (comme lors du long et terminal "Taedium Vitae") mais aussi parfois entaché par une incapacité à canaliser une inspiration foisonnante.

Un peu long et hanté par un chant qui dérange autant qu’il le voile d’une fébrilité irréelle, ce premier essai fait mouche lorsqu’il laisse les dérives instrumentales s’exprimer en un maelström, inquiétant parfois, tavelé d’une curieuse mélancolie souvent ("Nameless Reward"). Laboratoire sonore, ces compositions ont quelque chose de rampes de lancement vers des sphères que gangrène une folie rampante dont les burins sont ces instruments manipulés de manière déglinguée (violon, saxophone habité..).

Mais au final, malgré les (bonnes) idées qui l’émaillent, on ne retient pas grand chose de cet album aux allures de labyrinthe dont la clé ne nous est (volontairement) pas fournie. Une écriture intéressante mais encore mal dégrossie pour un album souvent intriguant que l'on a envie d'aimer sans toutefois y parvenir totalement. Muni d'un potentiel certain qui ne demande qu'à s'extraire de sa gangue, il ne fait néanmoins aucun doute que l'on n'a pas fini d'entendre parler de cette étrange formation... 6/10 (Music Waves )


lundi 20 février 2012

Eyes Front North

samedi 18 février 2012

Landforge

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