En 2008, coincé entre
Austere, Lyrinx ou Nox Inferi, au sein de la production de fait très Black
Metal du label français Those Opposed Records, nous découvrions Bosse, véhicule
d'un seul et unique musicien qui lui donne d'ailleurs son nom, à des
années-lumière de toute cette chapelle. En écoutant Echoes Of The Forgotten, sa
première offrande, survenue après trois petites démos, on comprend pourtant ce
qui avait pû attirer cette structure underground vers une musique à laquelle
nous avions accolé, certes avec maladresse, faute de mieux, l'étiquette
"Neofolk", moins celui des derniers Empyrium (Weiland) que celui, O
combien magnifique, forgé par les Finlandais de Tenhi. Bien que squelettique
dans son expression, la mélancolie qui s'en dégage n'est pas si éloignée que
cela de la désolation, de la décrépitude irriguant l'art noir et notamment les
hordes pré-citées. (Read more)
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