Décidément, les femmes ont pris le pouvoir dans le
Doom, souvent le meilleur (Jex Thoth, Castle), plus rarement pour le pire il
est vrai.Qui s'en plaindra ? Certainement pas les fidèles ayant du poil au
menton et les bourses pleines chez lesquels une paire de seins est toujours
bien venue. Une question toutefois : où s'arrête la sincérité et où commence
l'effet de mode ? Venant juste de sortir de la terre du Nevada, Demon Lung fait
partie de ces rejetons du dernier rang pour qui cette question n'est pas anodine.
Qu'importe en fait, pourvu qu'on est l'ivresse. Et celle-ci, on l'a avec
Pareidolia, premier (petit) signe de vie déjà solide. Vingt minutes c'est à la
fois peu et suffisant pour relever les qualités certaines de ce jeune quatuor,
à commencer par ces riffs aux allures de bunker imprenable ("Death
Mask"). Nana derrière le micro oblige, c'est tout naturelement vers
Shandra Fredrick que l'attention se dirige ensuite. Sans (mauvaise) surprise,
la jeune femme ondule dans le sillage monolitique des grandes prêtresses
assurant les cérémonies d'obédience sabbathienne. Elle coule sa semence (Read more)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire